http://intlnet.org/api.php?action=feedcontributions&user=Sysop&feedformat=atomINTLNET - User contributions [en]2024-03-28T22:47:09ZUser contributionsMediaWiki 1.23.3http://intlnet.org/index.php/M%C3%A9tas%C3%A9mantiqueMétasémantique2023-06-22T00:28:56Z<p>Sysop: /* «LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert */</p>
<hr />
<div>Compilaire de textes sur le thème de la '''métasémantique'''.<br />
<br />
==«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert ==<br />
<br />
Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
<br />
J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «<br />
<br />
# les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, <br />
# les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. <br />
<br />
Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonctionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
<br />
Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. <br />
<br />
La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
<br />
Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
<br />
* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
<br />
:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
<br />
:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
<br />
:* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
<br />
::«Ne pourra être maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
<br />
:* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
<br />
Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
<br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/M%C3%A9tas%C3%A9mantiqueMétasémantique2023-06-22T00:27:49Z<p>Sysop: /* «LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert */</p>
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<div>Compilaire de textes sur le thème de la '''métasémantique'''.<br />
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==«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert ==<br />
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Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
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J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «<br />
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# les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, <br />
# les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. <br />
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Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonctionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
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Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. <br />
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La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
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Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
<br />
* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
<br />
:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
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:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
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:* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
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::«Ne pourra être maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
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* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
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Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
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==«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert ==<br />
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Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
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J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «<br />
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:1-les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, <br />
:2-les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. <br />
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Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonctionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
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Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. <br />
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La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
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Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
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* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
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:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
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:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
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:* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
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::«Ne pourra être maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
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* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
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Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
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<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/M%C3%A9tas%C3%A9mantiqueMétasémantique2023-06-22T00:26:48Z<p>Sysop: </p>
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<div>Compilaire de textes sur le thème de la '''métasémantique'''.<br />
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==«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert ==<br />
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Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
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J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «<br />
<br />
:1-les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, <br />
:2-les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. <br />
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Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonctionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
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Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. <br />
<br />
La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
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Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
<br />
* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
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:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
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:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
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:* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
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:«Ne pourra être maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
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* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
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Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
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<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/JFC_MorfinJFC Morfin2023-06-11T08:25:47Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div>This page has been recently introduced : the important matter is not me but the ideas I work on. However, some sources keep asking for CVs.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/JFC_MorfinJFC Morfin2023-06-11T08:21:32Z<p>Sysop: Created page with "This page has been recently introduced as the important matter is not me but the ideas I work on. But some sources keep asking for CVs."</p>
<hr />
<div>This page has been recently introduced as the important matter is not me but the ideas I work on. But some sources keep asking for CVs.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Main_PageMain Page2023-06-11T08:19:47Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br />
INTLNET est un pôle d'aide à la gouvernance digitale du [[catenet]], créé en 1978 sous la forme d'un secrétariat associatif (SIAT) au développement du réseau datacoms international (IPSS, International Packet Switch System).<br />
<br />
Cette page reprend l'organisation générale du site. <br />
<br />
* [[cercle d'expertises]] <br />
* [[blik]] - stratégie actuelle d'Intlnet<br />
* [[Menu]] - Page générale d'accueil<br />
* [[projets supportés]] <br />
* [[MDRS]]<br />
* [[administration]]<br />
* [[Hall of Fame]]<br />
<br />
[[Introduction générale à l'état de ce site]].<br />
<br />
[[JFC Morfin]]</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Main_PageMain Page2023-01-16T23:42:39Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br />
INTLNET est un pôle d'aide à la gouvernance digitale du [[catenet]], créé en 1978 sous la forme d'un secrétariat associatif (SIAT) au développement du réseau datacoms international (IPSS, International Packet Switch System).<br />
<br />
Cette page reprend l'organisation générale du site. <br />
<br />
* [[cercle d'expertises]] <br />
* [[blik]] - stratégie actuelle d'Intlnet<br />
* [[Menu]] - Page générale d'accueil<br />
* [[projets supportés]] <br />
* [[MDRS]]<br />
* [[administration]]<br />
* [[Hall of Fame]]<br />
<br />
[[Introduction générale à l'état de ce site]].</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-16T08:11:09Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrés de façons différentes''' , ce qui n'est pas le cas pour l'unitilisation commune du système internet dont les flux sont en général "de bout en bout".<br />
<br />
La compréhension d'un "catenet de l'internet" est donc plus générale et permet les différentes configurations et paramètrages réclamés par le support de différentes communautés de vision de l'internet. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces "communautés globales" sont alors décrites comme "bénéficiant à l'humanité", puisqu'elles ajoutent le support des différences à la consolidation commune du réseau. A noter que leurs pratiques relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
<br />
:____<br />
<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-15T13:47:39Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrées de façons différentes''' , ce qui n'est pas le cas pour l'unitilisation commune du système internet dont les flux sont en général "de bout en bout".<br />
<br />
La compréhension d'un "catenet de l'internet" est donc plus générale et permet les différentes configurations et paramètrages réclamés par le support de différentes communautés de vision de l'internet. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces "communautés globales" sont alors décrites comme "bénéficiant à l'humanité", puisqu'elles ajoutent le support des différences à la consolidation commune du réseau. A noter que leurs pratiques relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
<br />
:____<br />
<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-12T19:07:00Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'unitilisation commune du système internet dont les flux sont en général "de bout en bout".<br />
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Une compréhension d'un "catenet de l'internet" est donc plus générale et permet les différentes configurations et paramètrages réclamés par le support de différentes communautés de vision de l'internet. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces "communautés globales" sont alors décrites comme "bénéficiant à l'humanité", puisqu'elles ajoutent le support des différences à la consolidation commune du réseau. A noter que leurs pratiques relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
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<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T18:07:36Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'unitilisation commune du système internet commun dont les flux sont en général "de bout en bout".<br />
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Une compréhension "catenet de l'internet" est donc plus générale et permet les différentes configurations et paramètrages réclamés par le support de différentes communautés de vision de l'internet. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces "communautés globales" sont alors décrites comme "bénéficiant à l'humanité". Leurs pratiques relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
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<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T18:06:58Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'unitilisation commune du système internet commun dont les flux sont en général "de bout en bout".<br />
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Une compréhension "catenet de l'internet" est donc plus générale et permet les différentes configurations et paramètrages réclamés par le support de différentes communautés de vision de l'internet. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces "communautés globales" sont alors décrites comme "bénéficiant à l'humanité". Elles relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
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<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T18:03:10Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'internet commun dont les flux sont en principe de bout en bout.<br />
<br />
Une compréhension catenet de l'internet est donc le cas où le support de différentes communautés de vision de l'internet sont simultanément paramètrées par différentes "communautés globales" de ses utilisateurs. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces communautés globales sont alors décrites comme bénéficiant à l'humanité. Elles relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
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<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T18:02:45Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes'''<ref> Intialement plusieurs technologies ont concourru à l'accès international datacoms, Cyclades, Tymnet, CCITT, ARPANET, etc. </ref> ou, maintenant <ref> depuis 1986 - fermeture de McDonnell Douglas Tymnet Extended Services, et de McDonnell Douglas Augment, et création de l'IETF - </ref>, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'internet commun dont les flux sont en principe de bout en bout.<br />
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Une compréhension catenet de l'internet est donc le cas où le support de différentes communautés de vision de l'internet sont simultanément paramètrées par différentes "communautés globales" de ses utilisateurs. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces communautés globales sont alors décrites comme bénéficiant à l'humanité. Elles relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).<br />
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<small><references /></small></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Main_PageMain Page2022-11-10T17:55:52Z<p>Sysop: </p>
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<div><br />
INTLNET est un pôle d'aide à la gouvernance digitale du [[catenet]], créé en 1978 sous la forme d'un secrétariat associatif au développement du réseau datacoms international (IPSS, International Packet Switch System).<br />
<br />
Cette page reprend l'organisation générale du site. <br />
<br />
* [[cercle d'expertises]] <br />
* [[blik]] - stratégie actuelle d'Intlnet<br />
* [[Menu]] - Page générale d'accueil<br />
* [[projets supportés]] <br />
* [[MDRS]]<br />
* [[administration]]<br />
* [[Hall of Fame]]<br />
<br />
[[Introduction générale à l'état de ce site]].</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T17:55:02Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes''' ou, maintenant, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'internet commun dont les flux sont en principe de bout en bout.<br />
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Une compréhension catenet de l'internet est donc le cas où le support de différentes communautés de vision de l'internet sont simultanément paramètrées par différentes "communautés globales" de ses utilisateurs. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces communautés globales sont alors décrites comme bénéficiant à l'humanité. Elles relèvent de la Convention de l'UNESCO de 2003 sur le patrimoine commun immateriel (PCI).</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T17:52:32Z<p>Sysop: </p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être '''différentes''' ou, maintenant, '''paramètrées de façons différentes''' (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'internet commun dont les flux sont en principe de bout en bout.<br />
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Une compréhension catenet de l'internet est donc le cas où le support de différentes communautés de vision de l'internet sont simultanément paramètrées par différentes "communautés globales" de ses utilisateurs. Ceci est expressément prévu au niveau du paradigme moderne de standardisation par la RFC 6852. Ces communautés globales sont alors décrites comme bénéficiant à l'humanité.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/CatenetCatenet2022-11-10T17:46:26Z<p>Sysop: Created page with "Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être diffé..."</p>
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<div>Les notions de '''catenet''' et d''''internet''' diffèrent conceptuellement par l'utilisation de "gateways" interconnectant des réseaux aux technologies pouvant être différentes ou, maintenant, paramètrées de façons différentes (catenet), ce qui n'est pas le cas pour l'internet dont les flux sont en principe de bout en bout.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Main_PageMain Page2022-11-10T17:41:44Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET est un pôle d'aide à la gouvernance digitale du [[catenet]] créé en 1978 sous la forme d'un secrétariat associatif au développement du réseau datacoms international (IPSS, International Packet Switch System).<br />
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Cette page reprend l'organisation générale du site. <br />
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* [[cercle d'expertises]] <br />
* [[blik]] - stratégie actuelle d'Intlnet<br />
* [[Menu]] - Page générale d'accueil<br />
* [[projets supportés]] <br />
* [[MDRS]]<br />
* [[administration]]<br />
* [[Hall of Fame]]<br />
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[[Introduction générale à l'état de ce site]].</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/M%C3%A9tas%C3%A9mantiqueMétasémantique2021-08-18T14:32:32Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div>Compilaire de textes sur le thème de la '''métasémantique'''.<br />
<br />
<br />
<br />
==«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» ==<br />
<br />
par Jean-Emile Gombert<br />
<br />
Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
<br />
J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «1-les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, 2-les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonc¬ tionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
<br />
Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
<br />
Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
<br />
* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
<br />
* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
<br />
«Ne pourra ôtre maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
<br />
* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
<br />
Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
<br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/M%C3%A9tas%C3%A9mantiqueMétasémantique2021-08-18T14:32:09Z<p>Sysop: </p>
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<div>Compilaire de textes sur la thème '''métasémantique'''.<br />
<br />
<br />
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==«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» ==<br />
<br />
par Jean-Emile Gombert<br />
<br />
Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
<br />
J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «1-les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, 2-les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonc¬ tionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
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Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
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Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
<br />
* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
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* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
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«Ne pourra ôtre maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
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* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
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Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
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<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/M%C3%A9tas%C3%A9mantiqueMétasémantique2021-08-18T14:31:01Z<p>Sysop: Created page with "«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE» par Jean-Emile Gombert Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990. J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désorma..."</p>
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<div>«LE DÉVELOPPEMENT MÉTALINGUISTIQUE»<br />
<br />
par Jean-Emile Gombert<br />
<br />
Coll. Psychologie d'aujourd'hui, PUF, 1 990.<br />
<br />
J.E. Gombert offre ici une somme qui devrait constituer désormais un passage obligé de tout travail didactique dans l'ordre du «méta». La thèse qu'il soutient est claire : les activités métalinguistiques, «sous domaines de la métacognition qui concerne le langage et son utilisation» impliquent : «1-les activités de réflexion sur le langage et son utilisation, 2-les capacités du sujet à contrôler et planifier ses propres processus de traitement linguistique en compréhension et en production. Ces activités et ces capacités peuvent concerner tout aspect du langage qu'il soit phonologique [...], syntaxique [...], sémantique [...] ou pragmatique». Quant aux «activités épilinguistiques», elles renvoient à des «comportements précocement avérés qui s'apparentent aux comportements métalinguistiques, mais qui ne sont pas (et n'ont jamais été) [...] contrôlés consciemment par le sujet. Il s'agit en fait de manifestations explicites, dans les comportements des sujets, d'une maîtrise fonc¬ tionnelle de règles d'organisation ou d'usage de la langue». Tout au long de l'ouvrage, J.E. Gombert insiste à la fois sur cette distinction entre «épi» et «méta», et sur l'enracinement de la réflexion et du contrôle conscients dans la maîtrise fonctionnelle des règles de fonctionnement ou des usages sociaux de la langue.<br />
<br />
Une telle position, qui n'est pas unanimement partagée par les linguistes et les psycholinguistes, a le mérite de faire la clarté sur des problèmes extrêmement concernants pour la didactique. Il est à noter que J.E. Gombert, par des chemins tout autres, rencontre les résultats de nos propres recherches. Les Groupes INRP «Evaluation» et «Résolutions de problèmes» ont mis en oeuvre en classe, décrit et évalué des activités qui paraissent rejoindre, pour l'essentiel, le cadre théorique de J.E. Gombert. La pluridimensionnaltié des faits de langue nous paraît, comme à lui, constitutive du champ des activités métalinguistiques. Désormais le «métasyntaxique» est à considérer comme une approche, parmi d'autres : le «métaphonologique» comme le «métalexical», le «métasémantique», comme le «métapragmatique» sont des dimensions à part entière de la connaissance du langage oral, écrit. Comme le souligne J.E. Gombert -nous le disions en 1 970 dans le Plan de Rénovation INRP -si l'activité langagière orale ne requiert pas nécessairement une approche métalinguistique, la maîtrise de l'activité langagière écrite appelle elle, une réflexion consciente, un contrôle des opérations impliquées. (Encore que la maîtrise de l'oral n'aille pas aussi sans réflexion consciente et sans contrôle... : on peut se demander pourquoi les didacticiens et les psycholinguistes laissent aujourd'hui ce point dans l'ombre). Du point de vue de l'écrit, J.E. Gombert privilégie, tout comme les travaux du Groupe «Evaluation» le «métatextuel», et le contrôle de la cohérence, de la cohésion.<br />
<br />
Ce cadre théorique est à la base du modèle de développement métalinguistique proposé par J.E. Gombert à partir du modèle de Karmiloff-Smith, qui distingue 4 phases successives :<br />
<br />
* deux phases obligées de nature épilinguistique : <br />
:* dans une première phase, l'enfant accumule des «habiletés linguistiques» associées à des contextes particuliers, et se trouve amené à résoudre des problèmes de plus en plus complexes ; la seconde phase procède d'une relative déstabilisation, marquée par la réapparition d'erreurs, des connaissances implicites accumulées, qui témoignerait des difficultés de l'enfant à résoudre des problèmes nés d'une compétence accrue ; <br />
:*cette 2° phase tendrait à une organisation des connaissances qui, entre autres, ébauche un système de règles d'em¬ ploi de formes linguistiques données et présuppose la mise en dénominateur commun de leurs contextes d'occurrence<br />
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* c'est sur cette base de connaissances implicites qu'émergent les activités métalinguistiques conscientes ; l'exigence de contrôle intentionnel des dimensions langagières évoquées plus haut, de connaissance consciente des fonctionnements qu'elles impliquent est à la fois suscitée et renforcée par les apprentissages scolaires de la lecture/écriture.<br />
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«Ne pourra ôtre maîtrisé consciemment, dit J.E. Gombert, que ce qui l'est préalablement à un niveau fonctionnel» dans les activités épilinguistiques (souligné par lui). Il devient alors essentiel de distinguer les «connaissances procédurales» (nous dirions : savoirs opératoires liés aux «opérations» d'ordre métalinguistique) et les «connaissances déclaratives» (nous dirions : savoirs conceptuels impliquant règles de fonctionnement et notions).<br />
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* La 4° phase se caractérise à la fois par une «automatisation des métaprocessus» et par leur activation «lorsque le déroulement de l'activité en question rencontre un obstacle, fait problème ou «quand le sujet décide de prêter une attention plus particulière à la tâche à accomplir», ce qui correspond tout à fait à la conception des enseignements métalinguistiques développés par le Groupe «Résolutions de Problèmes».<br />
<br />
Est-ce à dire que la rencontre de nos recherches en didactique avec J.E. Gombert est totale ? Un certain nombre de prises de position nous paraissent devoir être discutées. «Nous pensons, écrit J.E. Gombert, que les connaissances métalinguistiques déclaratives précèdent le contrôle métalinguistique de l'application de ces connaissances». Il cite à l'appui de cette position un argument de «bon sens» selon lequel nous ne pouvons appliquer des connaissances que nous n'avons pas. Les connaissances déclaratives (savoirs conceptuels) -enracinées dans l'expérience langagière fonctionnelle -auraient à précéder nécessairement les connaissances procédurales (savoirs opératoires). On peut se demander ici si un tel modèle a une portée générale ou s'il ne serait pas un artefact, correspondant aux représentations et aux pratiques scolaires dominantes. Nos travaux didactiques reposent, quant à eux sur l'idée que la fragilité des savoirs conceptuels des élèves, en grammaire par exemple.<br />
<br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Perf%C3%A9rentiationPerférentiation2021-08-18T14:27:12Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
Un perférent (perférendum, notion venant de Cicéron) est une documentation dynamiquement tenue à jour (ex. intellipage d'un wiki) pouvant porter l'enseignement et les commentaires intégrés de plusieurs co-auteurs/lecteurs successifs. En ce qui concerne l'établissement de la preuve, son intégration d'une blockchaine et de ses copies antérieures ainsi validées lui permet de s'affranchir de tout support physique. <br />
<br />
La perférentiation est donc une documentation tenue en parmanence à jour des modifications du sujet traités et selon les conditions de lecture.<br />
<br />
Lorsque cette perférentation est conduite en utilisant des intellipages, c'est à dire formatées par des balises et des fonctionnels, le perférent pourra faire partie d'un processus d'écritbalilecture [[métasémantique]].<br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Perf%C3%A9rentiationPerférentiation2021-08-18T14:08:12Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
Un perférent (perférendum, notion venant de Cicéron) est une documentation dynamiquement tenue à jour (ex. intellipage d'un wiki) pouvant porter l'enseignement et les commentaires intégrés de plusieurs co-auteurs/lecteurs successifs. En ce qui concerne l'établissement de la preuve, son intégration d'une blockchaine et de ses copies antérieures ainsi validées lui permet de s'affranchir de tout support physique. <br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Perf%C3%A9rentiationPerférentiation2021-08-18T11:48:22Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
Un perférendum (notion venant de Cicéron) est une documentation dynamiquement tenue à jour (ex. intellipage d'un wiki) pouvant porter l'enseignement et les commentaires intégrés de plusieurs co-auteurs/lecteurs successifs. En ce qui concerne l'établissement de la preuve, son intégration d'une blockchaine et de ses copies antérieures ainsi validées lui permet de s'affranchir de tout support physique. <br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Perf%C3%A9rentiationPerférentiation2021-08-18T11:44:10Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
Un perférendum (notion venant de Cicéron) est une documentation dynamiquement tenue à jour (ex. intellipage d'un wiki) pouvant porter l'enseignement et les commentaires intégrés de plusieurs co-auteurs/lecteurs successifs d'une conflexion simultanée et/ou échelonnée dans le temps. En ce qui concerne l'établissement de la preuve, son intégration à une blockchaine, et l'accès à ses versions antérieures ainsi validées, lui permet de s'affranchir de tout support physique. <br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Perf%C3%A9rentiationPerférentiation2021-08-18T11:42:56Z<p>Sysop: Created page with "<br/> Un perférendum (notion venant de Cicéron) est une documentation dynamiquement tenue à jour (ex. intellipage d'un wiki) pouvant porter l'enseignement et les commentair..."</p>
<hr />
<div><br/><br />
Un perférendum (notion venant de Cicéron) est une documentation dynamiquement tenue à jour (ex. intellipage d'un wiki) pouvant porter l'enseignement et les commentaires intégrés de plusieurs co-auteurs/lecteurs successifs d'une conflexion simultanée et/ou échelonnée dans le temps. En ce qui concerne l'établissement de la preuve, son intégration d'une blockchaine et de ses copies antérieures ainsi validées lui permet de s'affranchir de tout support physique. <br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Introduction_g%C3%A9n%C3%A9rale_%C3%A0_l%27%C3%A9tat_de_ce_siteIntroduction générale à l'état de ce site2021-08-18T11:37:08Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br />
L'accès aux anciennes pages de ce site a été interrompu à la suite d'une alteration survenue lors du changement de version de sa base de données. La restauration de ses archives historiques est en cours. Toutefois la priorité est donnéeà l'orientation actuelle qui découle de l'évolution architectonique de l'écosystème digital et, par contre-coup, de celle de sa dominance stratégique.<br />
<br />
La position d'INTLNET est que l'orientation technologique et les choix de gouvernance pris par ou à l'instigation du secteur militaro-industriel nord-américain depuis 1986 doivent être soumis à l'exercice du devoir de précaution constitutionnel, et à une révision architecturale devant être validée par une libre expérimentation par l'usage de tous.<br />
<br />
Cordialement<br />
<br />
jfcm<br />
<br />
<br />
== Note technologique ==<br />
<br />
La vocation d'INTLNET est la [[perférentiation]] de la cybernité dans ses composantes digitales, numériques, référentielles, fonctionnelles et opérationnelles. Ceci a commencé à sa création en 1978 par la compilation et la tenue à jour de l'INTLFILE.<br />
<br />
INTLNET utilise actuellement à titre transitoire la technologie MediaWiki. Elle vise à développer sa propre technologie de gestion d'ontodiktyologies (réseaux d'ontologies). C'est le rôle du projet '''[http://cybagora.org Cybagora]'''.<br />
<br />
<br/></div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T18:57:07Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative, les capacités propres de l'Open Source à y répondre durablement.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
<br />
Elle appelle son propre projet "plex M" - c'est à dire son "plan d'exécution pour la Multitude". Son analyse est en effet que la sapience (confiance en ses savoirs) humaine s’accroît au cours de l'Histoire. Après la sortie de la forêt, les cités, les empires, la féodalité, le débat moderne entre peuple et multitude engagé à la Renaissance et élargi à chacun lors des Lumières a peu à peu amené la formation des Etats souverains et la démocratie de leurs peuples. Aujourd'hui une nouvelle forme de multitudinité numérique est en devenir, avec la naissance de la notion de communautés globales et d'Etats en réseaux, qui repose sur la capacitation responsable et cybertoyenne.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T18:55:24Z<p>Sysop: </p>
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<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative, les capacités propres de l'Open Source à y répondre durablement.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
<br />
Elle appelle son propre projet "plex M" - c'est à dire son "plan d'exécution pour la Multitude". Son analyse est en effet que la sapience (confiance en ses savoirs) humaine s’accroît au cours de l'Histoire. Après la sortie de la forêt, les cités, les empires, la féodalité, le débat moderne entre peuple et multitude engagé à la Renaissance et élargi aux citoyens lors des Lumières a peu à peu amené la formation des Etats souverains et la démocratie de leurs peuples. Aujourd'hui une nouvelle forme de multitudinité numérique est en devenir, avec la naissance de la notion de communautés globales et d'Etats en réseaux, qui repose sur la capacitation responsable et cybertoyenne.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T18:45:29Z<p>Sysop: </p>
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<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative, les capacités propres de l'Open Source à y répondre durablement<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
<br />
Elle appelle son propre projet "plex M" - c'est à dire son "plan complexe pour la Multitude". Son analyse est en effet que la sapience (confiance en ses savoirs) humaine s’accroît au fur et à mesure des différents développements culturels humains.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:28:49Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
<br />
Elle appelle son propre projet "plex M" - c'est à dire son "plan complexe pour la Multitude". Son analyse est en effet que la sapience (confiance en ses savoirs) humaine s’accroît au fur et à mesure des différents développements culturels humains.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:19:27Z<p>Sysop: </p>
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<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
<br />
Elle appelle son propre projet "plex M" - c'est à dire son "plan complexe pour la Multitude".</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:18:36Z<p>Sysop: </p>
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<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
<br />
Elle appelle son propre projet "plex M" - c'est à dire son "plan complexe pour la Multitude".</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:18:06Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.<br />
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Elle appelle son propre projet "plex M" - plan complexe pour la Multitude.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:16:33Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de soutien de projets autonomes.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:15:58Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat associatif de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et pour le soutien de projets autonomes.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:15:31Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est organisée sous forme d'un micro-secrétariat de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et pour le soutien de projets autonomes.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:15:08Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est pour ce faire organisée sous forme d'un micro-secrétariat de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et pour le soutien de projets autonomes.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:14:24Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.<br />
<br />
Elle est pour ce faire organisée sous forme d'un micro-secrétariat de cercles d'expertise, d'expérimentations virtuelles et de projets citoyens.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:11:41Z<p>Sysop: </p>
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INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de considérer les attentes et besoins des "interliés" pour en soutenir leurs capacités propres à y répondre durablement, par le conseil, l'information des parties prenantes du déploiement diginumérique, la catalyse de recherches et la précaution normative.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:04:28Z<p>Sysop: </p>
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<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de prendre en considération les attentes et besoins des "interliés" et de soutenir, par le conseil et l'information des diverses parties prenantes du déploiement diginumérique et la recherche d'architectures ouvertes appropriées, leurs capacités propres à s'organiser pour y répondre.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T17:03:25Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est, depuis lors, de prendre en considération les attentes et besoins des "interliés" et de soutenir leurs capacités propres à s'organiser pour y répondre, par le conseil et l'information des diverses parties prenantes du déploiement diginumérique et la recherche d'architectures ouvertes appropriées.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T16:59:15Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 par JFC Morfin, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'être présentes et adressées lors de la mise en place et du déploiement du diginumérique, alors engagé auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.<br />
<br />
Son propos est depuis lors de prendre en considération les attentes et besoins des "interliés" et de conseiller les diverses parties prenantes du déploiement diginumérique, pour soutenir leurs capacités propres à s'organiser pour y répondre.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T16:51:08Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978, sous le nom de "Secrétariat International pour les Applications de la Télématique" (SIAT) pour permettre aux préoccupations de la société civile d'accompagner la mise en place et le déploiement du diginumérique, alors engagé par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc., auprès des opérateurs internationaux publics de data-communications.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Plex_MPlex M2020-09-05T16:46:59Z<p>Sysop: Created page with "<br/> INTLNET a été créée en 1978 pour permettre à ce qui allait devenir le "participatif civil" d'accompagner la mise en place et le déploiement du diginumérique, alor..."</p>
<hr />
<div><br/><br />
INTLNET a été créée en 1978 pour permettre à ce qui allait devenir le "participatif civil" d'accompagner la mise en place et le déploiement du diginumérique, alors engagé par Robert Tréhin, Directeur Tymnet European Operations, au sein du groupe Tymshare Inc.</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/Le_projet_IntlnetLe projet Intlnet2020-09-05T16:30:49Z<p>Sysop: </p>
<hr />
<div><br/><br />
<br />
Le projet d'INTLNET est le projet participatif <ref> le projet d'entreprise d'INTLNET s'inscrit dans le contexte de la coalition ''inter pares'' d'intérêt commun pour l'humanité ayant fait l'objet du consensus d'un double sommet mondial pour la "société de l'information".</ref> d'une "'''<u>glocalité pour tous</u>'''" <ref> pour chacun la maîtrise autonome de son accès à la <u>globalité commune</u> selon les critères de <u>'''sa'''</u> liberté locale.</ref> par la documentation de solutions et la catalyse de moyens qui lui sont nécessaires. <br />
<br />
Il en est résulté des priorités de contribution :<br />
* au déploiement du réseau international de commutation de paquets public [IPSS] (1978+), <br />
* à la recherche, au développement et au déploiement en matière de "services étendus" <ref> par continuation de la terminologie légale américaine des services entropiques (basic services : de bande passante; value added services : de type internet ; enhanced services : OSI, conversion de protocole), les services étendus sont les services néguentropiques aux contenus (netlearning). </ref> et de SX <ref> SX : experience sociétale : discipline de l'adaptation sociétale à sa propre adaptation.</ref> (1986+), <br />
* à la production normative dans un souci de précaution (2000) et de soutien d'une innovation ouverte et d'une Recherche Libre pour un Libre Savoir,<br />
* notamment en multilinguistique et en matière de document intelligent.<br />
<br />
Après la fin, le 1.10.2016, du moratoire stratégique à l'innovation architectonique étendue <ref> INTLNET se positionne dans le contexte d'un changement de paradigme architectonique majeur et homogène issu de la prise en compte du chaos et de la complexité, comme préalable aux évolutions des architectures scientifiques, sociétales et technologiques dites nouvelles. </ref> qu'avait de fait établi en 1986 le militaro-industriel américain <ref> Dans le cadre de la [http://www.beatriceco.com/bti/porticus/bell/whatkilledmabell.html dévestiture du Bell System] (1.1.1984) l'industrie des datacoms et les stratégies technologiques, industrielles et de défense ont été affectées par la séparation entre les revenus du transport et du traitement des données et les choix technologiques (UNIX/TCP/IP), politiques et commerciaux de l'époque.</ref>, ce projet se réarticule autour de la pérennité numérique du savoir profond par opposition aux seuls flux d'échanges et de traitements digitaux de la connaissance.<br />
<br />
* Sa méthode non conventionnelle (''analyses + catalyses'') se fonde sur son expérience diktyologique <ref> diktyologie : l'étude et la gestion de phénomènes non-hiérarchiques au sein des multitudes (''agoras'') en réseaux maillés (''communications'') et d'agents autonomes humains, physiques, intellectuels ou artificiels reliés (relations) </ref> des rapports d'influence du seul au multiple (''extension de ceux du faible au fort'') dans le contexte de la '''SX''' actuelle. <br />
* Cette discipline est celle du "tout supérieur à la somme de ses parties" dont la néguentropie sapientiale rémanente résulte de la synergie de résonance relationnelle <ref> cf. [[Théorie de l'intellition et de la relation]] (''d'analyse et recherche propre en étude'').</ref> entre des parties dont la connaissance immédiate est alimentée par information entropique <ref> théorie de l'information et de la communication (générale : Shannon et algorithmique : Solomonov, Kolmogorov et Chaitin)</ref>.<br />
<br />
<br />
;Attention : le projet INTLNET est très fortement contingent aux choix politiques, stratégiques, économiques, commerciaux et juridiques de tout niveau et de toute origine au sein de la multitude (''comportement agorique''), toutefois son attracteur est architectonique, c'est celui des causes et des effets profonds sur la constitution d'une société de l'information qui soit "people centered, à dimension humaine, centrada en la persona" selon l'[http://www.itu.int/net/wsis/docs2/tunis/off/7-fr.html Engagement de Tunis du Sommet Mondial pour la Société de l'information de 2005].<br />
<br />
___<br />
<br />
<small><references/></small><br />
[[°]]</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/BlikBlik2020-09-05T16:28:57Z<p>Sysop: </p>
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<div>{|<br />
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|-<br />
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[[Image:6works.png|60px|left|Site en création !|link=]] ''Site en pré-opérations.''<br />
|valign="top"|<br />
{| style="text-align: right; color: black; background-color: white; width: 97%"<br />
|<br />
;<big>'''BLIK D'INTLNET''' </big>: ''[[le projet Intlnet]]''<br />
|}<br />
|}<br />
<center><br />
{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 100%"<br />
| <br />
Ce '''[[blik]]''' traite du projet INTLNET dans le cadre de sa mise à niveau de 2017/2018. Ce projet engagé en 1978 vise la "glocalité" pour tous à travers une stratégie de recherche, d'information et de catalyse quant à la manière d'y parvenir.<br />
|} <br />
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{|<br />
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|-<br />
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[[File:boiteamail.jpg|200px|gauche|link=mailto:xxxxxx@primauteur.fr]]<br />
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<!--n2--><br />
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|valign="top"|<br />
<!--n3--><br />
<br/><br />
Ce blik est destiné à la conduite générale du projet INTLNET par son promoteur JFC Morfin. Sa priorité aujourdhui (après la Transition Internet) est de réorganiser le SIAT/INTLNET en un pôle de coordination de développement à partir de l'expérience obervée et acquise (''innovation rétrospective'').<br />
{| style="text-align: center; color: white; background-color: white; width: 100%"<br />
|<br />
{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 80%"<br />
| <br />
:<br />
'''[[Plex M]]'''<br />
:<br />
|} <br />
|<br />
{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 80%"<br />
| <br />
:<br />
'''[[Neb]]'''<br />
:<br />
|}<br />
|<br />
{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 80%"<br />
| <br />
:<br />
'''[[Tech]]'''<br />
:<br />
|}<br />
|} <br />
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[[File:intlnetb.jpg|200px|droite|link=mailto:xxxxxx@primauteur.fr]]<br />
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|}<br />
{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: lightblue; width: 100%"<br />
| <br />
'''[http://domaine.tld/mailman/listinfo/liste-domain.tld Contribuez au Débat des Lecteurs de ce blik !]'''<br />
|}<br />
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|-<br />
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{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 80%"<br />
| <br />
:<br />
'''[[contexte architechnique]]'''<br/><br />
|} <br />
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{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 80%"<br />
| <br />
:<br />
'''[[Hors Murs]]'''<br/><br />
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'''[[perferents]]'''<br/><br />
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| <br />
:<br />
'''[[attente]]'''<br/><br />
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|}<br />
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[[-]]<br />
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<references/><br />
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http://lerda.org/mailman/listinfo/chaos_fl.gy</div>Sysophttp://intlnet.org/index.php/BlikBlik2020-09-05T16:26:42Z<p>Sysop: </p>
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[[Image:6works.png|60px|left|Site en création !|link=]] ''Site en pré-opérations.''<br />
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{| style="text-align: right; color: black; background-color: white; width: 97%"<br />
|<br />
;<big>'''BLIK D'INTLNET''' </big>: ''[[le projet Intlnet]]''<br />
|}<br />
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{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 100%"<br />
| <br />
Ce '''[[blik]]''' traite du projet INTLNET dans le cadre de sa mise à niveau de 2017/2018. Ce projet engagé en 1978 vise la "glocalité" pour tous à travers une stratégie de recherche, d'information et de catalyse quant à la manière d'y parvenir.<br />
|} <br />
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[[File:boiteamail.jpg|200px|gauche|link=mailto:xxxxxx@primauteur.fr]]<br />
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<br/><br />
Ce blik est destiné à la conduite générale du projet INTLNET par son promoteur JFC Morfin. Sa priorité aujourdhui (après la Transition Internet) est de réorganiser le SIAT/INTLNET en un pôle de coordination de développement à partir de l'expérience obervée et acquise (''innovation rétrospective'').<br />
{| style="text-align: center; color: white; background-color: white; width: 100%"<br />
|<br />
{| class="wikitable" style="text-align: center; color: black; background-color: white; width: 80%"<br />
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'''[[Plex M]]'''<br />
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'''[[Neb]]'''<br />
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'''[[Technologie]]'''<br />
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'''[http://domaine.tld/mailman/listinfo/liste-domain.tld Contribuez au Débat des Lecteurs de ce blik !]'''<br />
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'''[[Hors Murs]]'''<br/><br />
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'''[[perferents]]'''<br/><br />
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http://lerda.org/mailman/listinfo/chaos_fl.gy</div>Sysop